Bien qu’elle touche une femme sur dix et représente la première cause d’infertilité féminine, l’endométriose ne dispose pas encore d’un traitement spécifique et nécessite en moyenne 7 ans pour être diagnostiquée. Face à ce constat, L’Élysée dévoile les grands axes de la stratégie nationale de lutte contre cette maladie.

Présenté comme porteur d’espoir pour une meilleure qualité de vie auprès de plus de deux millions de personnes, la stratégie nationale de lutte contre l’endométriose vise à maitriser au mieux la maladie en s’appuyant sur trois objectifs fondamentaux : 

• Investir dans la recherche afin de mieux comprendre la maladie, ses causes et conséquences et trouver des traitements thérapeutiques adaptés ;
• Faciliter l’accès aux soins en offrant un parcours diagnostic facilement identifiable et accessible sur l’ensemble du territoire ;
• Développer un « réflexe endométriose » auprès de tous les publics (à l’école, à l’université, au bureau et dans les milieux médicaux).